Principales réalisations

En dehors des activités de représentation et de mobilisation des fonds qui sont coordonnées au niveau de la Direction avec l’appui de l’Institut des Pères de Schoenstatt, toutes les autres activités de la Fondation sont réalisées à travers quatre projets. Voici les principaux résultats atteints :

Le projet GIRIZINA vient en aide aux enfants de la rue. Touchée par la  situation étrange de vie de ces enfants, partant aussi du fait que la population burundaise s’appauvrit davantage, la Fondation Mariya Arafasha s’est donné comme objectif de soulager les peines de ces enfants à travers « la réunification familiale, la réinsertion scolaire et socioprofessionnelle des enfants et jeunes de la rue ».

De cette façon, le projet offre aux enfants de bonnes opportunités de retourner dans leurs familles et de retourner à l’école afin de briser les effets de la délinquance auxquels ils sont constamment exposés dans la rue.

Deux catégories d’enfants sont accompagnés par la Fondation ; ceux du centre et ceux qui ont été réinsérés dans leurs familles d’origine.

Aujourd’hui, 87 enfants bénéficient de l’accompagnement de la Fondation dont 17 hébergés  au centre d’accueil, sans compter ceux qui ont déjà été totalement réinsérés et qui n’ont plus besoin d’un accompagnement de proximité de la Fondation sinon de façon très ponctuel.

Le projet GIRUMUVYEYI prend en charge  les élèves issus des familles démunies depuis l’année scolaire 2007-2008.  A la septième année d’expérience, nous avons un effectif d’au moins 850 élèves bénéficiaires ayant déjà reçu une aide en matière de scolarisation, plus précisément : les frais scolaires, les uniformes de l’école, le matériel scolaire et les soins de santé. Les élèves bénéficient aussi de l’encadrement pendant les vacances avec des thèmes divers en rapport avec la paix, la réconciliation et le développement.

Le Projet GIRAKAZOZA  aide les jeunes femmes et hommes vulnérables  qui n’ont pas eu la chance de continuer leurs études en leur apprenant un métier. Les personnes vivant avec un handicap physique léger sont également accueillies.

Ce projet de formation en métier, veut contribuer à l’auto prise en charge des ses bénéficiaires rendus vulnérables par l’handicap ou toute autre forme de pauvreté.

Des jeunes garçons (25) ont  déjà été formés en menuiserie et  ont  installé leurs propres ateliers avec le kit de démarrage reçu.

Les femmes (85) ont été formées essentiellement en coupe-couture. Elles ont reçu également un kit pour leurs ateliers qui fonctionnent déjà.

Le projet GIRAMAHORO a déjà réalisé beaucoup d’activités notamment plusieurs concerts de paix et réconciliation dont quatre (2008-2009) au Burundi avec le financement de l’UNESCO et du Ministère de la Jeunesse, des sports et de la Culture,  et un  en Allemagne avec l’appui technique et financier de la Fondation SER d’Allemagne (2009). Elle a également accompagné la chorale Sainte Famille de Mont Sion Gikungu dans certaines activités en rapport avec la paix et réconciliation notamment le concert organisé à Ruyigi (2009). Un concours de chants et danse culturels ainsi que les tournois sportifs en rapport avec la paix ont été également organisés.

A cela s’ajoutent entre autres l’atelier sur « La gestion, la transformation et la résolution pacifique des conflits » organisé avec le financement du Bureau de l’Unesco au Burundi ; la formation des formateurs « Peace building anthropology Course » avec la participation des jeunes de la région des Grands lacs en 2014 ; la formation des jeunes juristes et avocats sous le thème: « Une bonne gestion foncière au service de la Paix et de la Réconciliation »  en 2015, Organisation d’une Semaine de la Paix en Septembre 2016 « Gagne sur l’indifférence et remporte la Paix », des activités dans le but de créer un cadre de rencontre et d’échange entre les jeunes notamment la formation en informatique où 80 lauréats ont déjà eu leurs certificats et l’initiation du club Amaho-amasho. Un service d’écoute des traumatisés (formations et cas écoutés) a été également initié.

Projet GIRAMAHORO

Projet GIRAMAHORO

Le Projet Giramahoro (= Que tu aies la paix), est conçu pour promouvoir une culture de la paix, du pardon et de la réconciliation au Burundi, un pays longtemps marqué par la guerre, la haine et l’exclusion.

Activités du Projet Giramahoro

– Organisation des concerts rassemblant enfants, jeunes et adultes autour des chants et danses de paix ;

– Organisation des tournois sportifs de paix ;

– Organisation des ateliers sur la thématique « éducation à la paix et résolution pacifique des conflits » ;

– Organisation des formations en informatique pour rassembler les jeunes de diverses tendances autour d’une activité intellectuelle ;

– Encadrement du Club culturel Amaho-Amasho, un cadre de  rencontre et d’épanouissement culturel des jeunes autour d’un idéal de paix et de cohabitation pacifique ;

– Ecoute des personnes traumatisées où les clients bénéficient d’une assistance psychosociale via une équipe des techniciens formés en technique de counselling.

Critères de choix des bénéficiaires

Les critères pour le Projet Giramahoro sont définis selon le groupe cible identifié et selon le choix de l’activité à accomplir.

Projet Girakazoza

Projet Girakazoza

Le Projet Girakazoza (= Aie un avenir) a été conçu pour la formation professionnelle et le renforcement des capacités des nécessiteux en coupe-couture (filles/femmes dont la plupart sont en situation de handicap physique) et en menuiserie (jeunes hommes déscolarisés issus des familles très pauvres). Il a débuté ses activités en 2007 et a pour but de doter aux jeunes vulnérables des moyens pouvant leur permettre d’assurer dans le futur leur autonomie financière.  A peu près 60 jeunes femmes à handicap physique et 15 jeunes garçons déscolarisés ont bénéficié des appuis du Projet Girakazoza.

Activités  du Projet Girakazoza

– Identification et sélection des bénéficiaires ;

– Formations en coupe-couture et menuiserie avec assistance en alimentation, en soins de santé et en frais de déplacement pendant la période de formation ;

– Activités de clôture des formations : remise aux bénéficiaires des certificats de formation et kit de démarrage de leurs propres ateliers ;

– Activités de suivi des bénéficiaires dans leurs propres ateliers

Critères de choix des bénéficiaires

– Etre une jeune femme/jeune homme descolarisé(e) ;

– Avoir un niveau de formation minimal de 5ème année primaire : présentation de bulletin de la dernière année scolaire fréquenté ;

– Etre une jeune femme/jeune homme vulnérable ;

– Prouver un intérêt visible d’être appuyé(e) dans une formation en métier ;

– Avoir une vision pour une auto-prise en charge future après avoir reçu le kit du métier appris.

N.B. : Les jeunes femmes et les jeunes hommes à handicap physique léger  sont prioritaires .

Projet Girumuvyeyi

Le Projet Girumuvyeyi (= Que tu aies un parent) est un projet pour la prise en charge scolaire  des élèves orphelins ou issus des familles pauvres. Ce projet a été initié depuis 2007.

Le mobile de sa conception est que, depuis un certain temps, la scolarisation  au niveau de l’école primaire est gratuite à l’enseignement public au Burundi. Cela n’est pas le cas au niveau de l’école secondaire où les élèves démunis, même les plus doués, peuvent interrompre ou abandonner leurs études secondaires faute de moyens financiers suffisants. Le projet Girumuvyeyi  est alors venu pour offrir une opportunité à ces élèves de poursuivre leur scolarité malgré leurs faibles moyens financiers.

Depuis l’année scolaire 2007-2008 jusqu’à la fin de l’année scolaire 2013-2014, le projet enregistre un effectif de 104 élèves qui ont terminé leurs études secondaires. Ces derniers, continuent soit  à l’université, soit cherchent de l’emploi.

Activités du Projet Girumuvyeyi

– Identification et sélection des bénéficiaires ;

– Octroi des frais et du matériel scolaire aux élèves bénéficiaires ;

– Assistance en soins de santé ;

– Suivi et encadrement des élèves bénéficiaires ;

– Ecoute et Accompagnement des bénéficiaires dans la recherche de solutions à leurs problèmes

Critères de choix des bénéficiaires

– Etre élève du secondaire(Fille ou Garçon) attesté par la présentation de bulletin scolaire original de l’année scolaire récent;

– Appartenir à une famille démunie : présentation d’une attestation d’indigence délivrée par l’autorité administrative locale compétente ;

– Réussir avec un minimum d’une note de 60% à la fin de l’année scolaire ;

– Accepter de fréquenter une école publique (à régime d’internat ou d’externat)

Projet Girizina

Projet Girizina

Appelé « Girizina » (littéralement « Que tu aies un nom »), le Projet souhaite à l’enfant de la rue d’avoir un nouveau nom différent de celui ramassé dans la rue. Qui dit un nouveau nom dit une nouvelle vision des choses, une nouvelle orientation. Ainsi le Projet « Girizina » voudrait aider ces enfants et jeunes de la rue à changer leur mode de vie de rue pour se réorienter positivement et retrouver leur dignité perdue en quittant le toit familial.

Activités du Projet Girizina

Les activités du projet ont débuté en 2007 avec 41 enfants et jeunes de la rue. Aujourd’hui, au moins 151 enfants en situation de rue ont bénéficié de l’assistance du projet. Le projet organise des activités en faveur aussi bien de l’enfant mais aussi de ses parents.

– Animation socio-sportive pour identifier les nouveaux enfants de la rue dans leur milieu de vie (la rue) ;

– Prise en charge totale des enfants au centre de transit (hébergement, alimentation, habillement, soins de santé, etc.) ;

– Recherche-réinsertion familiale et réunification familiale ;

– Réinsertion scolaire et assistance des enfants en frais et matériels scolaires ;

– Organisation des ateliers de sensibilisation des parents en vue de favoriser une bonne réintégration familiale des enfants réinsérés.

Critères de choix des bénéficiaires

  1. Etre un enfant de moins de 14ans (Fille ou Garçon) ;
  2. Avoir fréquenté la rue au moment du recrutement;
  3. Etre dans une situation de vulnérabilité exigeant une assistance ;
  4. Avoir une famille d’origine ou d’accueil prête à collaborer activement avec la Fondation pour la réussite de sa réinsertion familiale, scolaire et économique ;
  5. Suivre toutes les étapes du protocole de recrutement des nouveaux enfants en vigueur dans la Fondation Mariya Arafasha.

Père Claude Jeria

Père Claude Jeria, Représentant légal et Président du Conseil de la Fondation Mariya Arafasha

Agé de 66 ans en 2017, Père Claudio Jeria est originaire du Chili en Amérique latine. Père de Schoenstatt, il est au Burundi depuis déjà 21 ans. Il est arrivé plein d’enthousiasme, bien disposé à servir, à se sacrifier, et à donner même sa vie, si c’était nécessaire. Sa motivation était le Christ. Sa grande étoile est la Vierge Marie, notre mère. A son arrivé, le pays était en pleine crise. On parlait en tout moment de guerre, la vie était dure, les balles sifflaient partout.

L’origine de la Fondation Mariya Arafasha comme étant le résultat Sanctuaire de Mont Sion

Je ne regrette pas. J’ai aimé depuis le début le peuple burundais. Il s’agit d’un des pays les plus pauvres de la planète. Mais il s’agit aussi d’un pays avec un énorme potentiel pour tisser des liens. Ici l’argent n’abonde pas, mais la population a envie de lutter pour faire avancer le pays, pour construire un pays plus digne, où les liens humains soient au centre de tout. Au milieu de la crise, j’ai trouvé ici un morceau du paradis, où le peuple burundais vient par des milliers, afin de trouver consolation et des nouvelles forces. Ce petit morceau du paradis est le sanctuaire de notre Mère Trois Fois Admirable de Schoenstatt à Mont Sion Gikungu. Il s’agit d’un sanctuaire marial très aimé et visité par le peuple burundais. À l’ombre de ce sanctuaire est né l’œuvre de Mariya Arafasha (Marie Aide).

Au début – 2007 – il y a eu un prêtre burundais – P. Déo Maruhukiro –, quelques enfants de la rue demandant l’abritement et quelques laïcs volontaires prêts à servir. Tous avaient la confiance en la Vierge Marie. Elle allait les aider à trouver les moyens matériels et spirituels pour aider ceux qui souffrent. »

Aujourd’hui, il y a dix ans de ce début. Les Pères de Schoenstatt ont accepté cette œuvre, baptisée « Mariya Arafasha » (Marie Aide), comme leur œuvre. C’est pourquoi à la tête de cette œuvre se trouve un conseil de laïcs volontaires autochtones, présidés par un Père de Schoenstatt. Après P. Déo Maruhukiro est venu P. Anicet Nyandwi comme président de l’œuvre, et depuis 2014 a été le tour du Père Claude Jeria de conduire cette œuvre merveilleuse.

Quel sera l’avenir du Burundi selon le Père Claude et quel est son souhait?

La réponse est dans nos mains. La Vierge veut nous aider à partir de son sanctuaire, mais elle a besoin de nous, de notre aide.

La tâche est grande, mais pas impossible. Il y a des millions de personnes au Burundi qui ont besoin d’être aidés et ils nous font appel à collaborer. C’est un défi pour notre générosité et notre capacité de service. C’est un défi digne d’un chrétien. Marie est la garantie de la réussite de nos efforts.

Je vous salue chaleureusement et souhaite que vous deveniez nos amis, nos partenaires, dans cette grande lutte pour un monde meilleur, ici en Afrique.

Père Deogratias Maruhukiro

Le Père Déogratias MARUHUKIRO est membre de l’institut des Pères de Schoenstatt, il a été le recteur du Sanctuaire marial de Schoenstatt  Mont Sion Gikungu de 2006 à 2010. Au Sanctuaire de Mont Sion Gikungu, il s’est beaucoup engagé pour la Paix et la réconciliation par une pastorale de Paix et de réconciliation qui a abouti au couronnement de la Sainte Vierge Marie comme Reine de la Paix et de la Réconciliation au Burundi (Cf.  Le livre Déogratias Maruhukiro, Histoire d’une mission ; Préface de Monseigneur Benoît Rivière, aux éditions Parole et Silence).  Après son apostolat au Sanctuaire de Mont Sion Gikungu, il est allé en Allemagne où il fait sa thèse de doctorat sur le thème « Pour une culture de Paix et de réconciliation ; Analyse sociopolitique (du conflit Burundais) et approche théologico-éthique en vue de promouvoir une culture de Paix et de réconciliation au Burundi).  Dans le cadre de ses recherches, le Père Déogratias a initié en Allemagne le « RAPRED-Girubuntu : Réseau africain pour la Paix, la réconciliation et le développement durable. www.rapred-girubuntu.org ». Le Rapred-Girubuntu s’intéresse à promouvoir un réseau de chercheurs dans le domaine de la Paix et la réconciliation, tout en développant des projets concrets en vue de la promotion d’une culture de Paix et de réconciliation en Afrique et au de-là !

L’idée de la naissance de la Fondation Mariya Arafasha est dévéloppée en long et en large dans son livre « Histoire d’une mission ».  Son séjour en Amérique latine est fondamental pour la naissance de la Fondation Maria Arafasha.  Sa naissance est donc inspirée par les différentes initiatives sociales qui sont nées autour des Sanctuaires en Amérique latine (Chili, Argentine, et Paraguay), et la Fondation Mariya Arafasha se veut être le bras et le visage social de la Vierge Marie au Sanctuaire. La Fondation Mariya Arafasha est née donc du Sanctuaire et devrait rester en parfaite communion avec la Spiritualité et la pédagogie de Schoenstatt.

Au départ les obstacles les plus importants étaient de trouver le financement des projets, La Vierge Marie a répondu à ce soucis en nous envoyant des jeunes volontaires de l’Espagne et du Portugal (Mr. Joachin Zoazo ; Duarte Richiardi et Franzisco ) qui ont passé beaucoup de temps avec nous et les enfants de Marie dans la première phase de Fondation, ils ont reçu une grande aide à travers Mauricio Cox qui a mobilisé ses connaissances et ses amis pour le financement d’un projet que lui-même avait conçu  et développé «  Le projet Girumuvyeyi ».

Le Père Deogratias Maruhukiro est donc satisfait des réalisations de la Fondation Mariya Arafasha, surtout du fait que des jeunes et des enfants qui n’avaient plus d’espoir ont pu refaire leur vie et se développer grâce à la Fondation Maria Arafasha. Il est pour le moment loin du Burundi et ne parvient plus à suivre de près toutes les activités de la Fondation surtout à cause de multiples engagements mais, dit-il, comme toutes les autres organisations qui sont au Burundi, « la Fondation Mariya Arafasha est confrontée aussi avec la crise socio-économique, et les bailleurs sont de plus en plus rares ! Je reste cependant convaincu que la Fondation Mariya Arafasha se développera et pourra réaliser le rêve de sa naissance ! »

Propos recueillis par Jean de Dieu Niyonkuru
Communication, Mont Sion Gikungu

Qui sommes nous?

Présentation générale

C’est avec une grande joie et plein d’espérance que nous vous souhaitons la bienvenue sur notre site Internet. Ce site sera un instrument efficace pour vous informer sur la vie de la Fondation Mariya Arafasha, connaître ses réalisations, ses rêves et projets d’avenir. Visitez ce site pour encourager les initiatives de toute personne qui a un rêve d’un pays meilleurs et qui veut, avec Marie, agir pour la paix, la réconciliation et le développement. Visitez ce site pour connaître et faire connaître la Fondation afin de continuer à vivre ce rêve: le rêve de susciter un sourire chez un enfant de la rue ; le rêve de redonner l’espoir aux désespérés ; le rêve d’un lendemain paisible; bref le rêve d’un pays meilleur…

Soyez les bienvenus, venez rêver avec nous, venez partager avec nous cet espoir, venez lutter ensemble pour ce lendemain meilleur….

Vision

La vision de la Fondation Mariya Arafasha est une société réconciliée, juste et solidaire où règnent la paix, la tolérance et où les familles vivent dans la dignité.

Mission

La mission de la Fondation Mariya Arafasha est de renforcer une culture de solidarité et de promouvoir un développement intégral des familles.

Objectif général

La Fondation Mariya Arafasha a pour objectif global de promouvoir des programmes de renforcement d’une culture de solidarité et du développement intégral dans une optique chrétienne de toute personne sans égard à ses convictions religieuses, philosophiques ou nationales.

Objectifs spécifiques

• Appuyer les groupes vulnérables dans la réinsertion socio-économique ou socioprofessionnelle : les enfants de la rue, les enfants chefs de ménages, les veuves, les Batwa ;

• Promouvoir l’éducation et la santé en général ;

• Contribuer à rehausser le niveau d’instruction et promouvoir les valeurs positives notamment la réconciliation, la vérité, la solidarité;

• Lutter contre la pauvreté par des activités génératrices de revenus ;

• Lutter contre le VIH/SIDA et autres épidémies ;

• Lutter contre les viols et toutes formes de violence

Axes d’intervention

Les activités de la Fondation Mariya Arafasha sont organisées à travers  deux programmes :

I. Le programme social qui comprend 3 projets :

• Projet Girizina pour la réunification familiale et la réinsertion scolaire et socioprofessionnelle des enfants et jeunes de la rue ;

• Projet Girumuvyeyi pour la prise en charge des élèves démunis ;

• Projet Girakazoza pour le renforcement des capacités des nécessiteux en leur octroyant des formations professionnelles comme la coupe-couture ou la menuiserie

II. Le programme Paix-Réconciliation avec comme projet :

• Projet Giramahoro pour la consolidation de la paix, la réconciliation en vue de recoudre le tissu social déchiré par différentes crises sociopolitiques.

Video Youtube

Everyone is looking to lose weight these days, but most people miss the one key to just how easy it really is: eating more fiber! While you need protein…

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Typi non habent claritatem insitam; est usus legentis in iis qui facit eorum claritatem. Investigationes monstraverunt lectores legere me lius quod ii legunt saepius. Claritas est etiam processus dynamicus